Le vice-ministre japonais de la Défense, Nishida Yasumori, a apprécié les efforts du Vietnam, en particulier les contributions de l’Armée populaire du Vietnam à la lutte contre le COVID-19.
Dans le cadre d’un nouveau plan présenté ce mercredi 10 juin par la Commission européenne, Bruxelles a cité Pékin comme une source de désinformation sur les sujets liés au coronavirus. Comme l’indique la presse internationale, c’est la première fois que l’UE “dénonce” officiellement l’attitude de la Chine.
Les deux chefs d’État qui ont échangé vendredi ont aussi évoqué la situation de Hongkong et le rôle « central et incontournable de l’OMS ».
Les membres de l’ASEAN+3 devraient renforcer leur coopération dans la lutte contre l’épidémie de COVID-19 et la promotion du développement économique.
L’épidémie de Covid-19 a un impact direct et indirect sur les relations diplomatiques et économiques entre le Vietnam et la Chine, en particulier en ce qui concerne la situation en mer de Chine méridionale. Après une période de pause, les échanges commerciaux entre les deux pays ont repris progressivement. Cependant, la situation en mer de Chine méridionale est devenue plus tendue du fait que Pékin profite de la focalisation internationale sur la lutte contre l’épidémie pour accroître la pression militaire et consolider ses revendications de souveraineté en s’opposant aux autres pays en litige de la région.
Le Vietnam est l’un des pays les plus réussis en Asie dans le contrôle de la propagation du coronavirus, a estimé le site d’Internet East Asia Forum (Eastasiaforum.org), une plateforme d’analyse et de recherche sur l’économie, la politique, les affaires, les relations internationales et les politiques en Asie de l’Est.
Le Vietnam et le Japon travaillent en étroite collaboration pour lutter contre l’épidémie de COVID-19, a déclaré l’ambassadeur vietnamien à Tokyo, Vu Hông Nam, à l’Agence Vietnamienne d’Information (VNA).
Pékin et Washington étaient déjà à couteaux tirés depuis deux ans et la guerre commerciale lancée par l’administration Trump à base de surtaxes douanières réciproques qui pénalise le commerce international.
Depuis le début de la crise sanitaire, la Chine, déjà bien implantée au Zimbabwe, est venue prêter main-forte à ce pays du sud de l’Afrique dans sa lutte contre le Covid-19. Le soft power chinois n’a jamais été aussi présent.
Le président des États-Unis a menacé de rompre toute relation avec la Chine, qu’il accuse également de manipuler l’OMS.
After the Covid-19 pandemic is over, we are likely to face a world in which the nations with strong foundations are stronger and the weak are further weakened. The World Bank has already predicted that 11 million additional people in East Asia and the Pacific region will fall below the poverty line, and other economic performance predictions are even more dire. In Southeast Asia, in particular, socioeconomic disparities are likely to deepen. The repercussions of Covid-19 are, in many ways, already undoing the regionalism efforts that ASEAN has been pursuing for decades.
Les relations sino-vietnamiennes à l’heure de la pandémie de Covid-19 : géopolitique et économie. Interview de Laurent Gédéon, maître de conférences à l’Université catholique de Lyon (UCLy), chercheur à l’Institut d’Asie Orientale par Thu Hằng, journaliste à RFI.
For years Beijing has spoken of its global leadership. As democratic states score Covid-19 own goals, that narrative is stronger than ever.
The unprecedented COVID-19 pandemic has exposed deep ideological divisions and geopolitical rivalries, especially between the US and China. ASEAN once again risks getting caught in between the two contentious major powers. ASEAN’s role in balancing such rivalries and managing regional cooperation is yet again being tested.
North Korean leader Kim Jong-un sought to strengthen ties with China by sending a message to Chinese President Xi Jinping congratulating him on gaining control over the COVID-19 situation.
