– Health expert says island will remain vulnerable to the virus unless more people get immunised
– A record 333 locally transmitted infections were reported on Monday and new restrictions have been imposed
– With the pandemic largely under control, they say hesitancy is a challenge and misinformation about safety is a factor
– So far, just 3.56 per cent of the population has been immunised and authorities want to speed up the roll-out to hit 40 per cent target by July
– Cells responsible for lasting ability to fight the virus were not found in those patients, Chinese scientists say
– Absence of the cells casts doubt on patients’ ability to produce the complete immune response needed for a vaccine to work
– Study conducted in Wuhan, the initial centre of the outbreak, and Guangzhou finds tiny proportion of population had developed antibodies
– Strict isolation and community measures should be continued until a vaccine is available, says a paper led by Zhong
Une étude du Research Center for Advanced Science and Technology (東京大学 先端科学技術研究センター) de l’Université de Tokyo, présentée en visioconférence le 15 mai 2020 et en cours d’évaluation auprès de la revue médicale The Lancet, estime que le faible taux de décès dus à la covid-19 au Japon pourrait s’expliquer par la présence antérieure d’anticorps IgG chez de nombreux Japonais, anticorps qui auraient été acquis lors de précédentes épidémies de coronavirus dans les années 2000 (SARS, MERS).
Sam Rainsy a enfourché, depuis le début de l’épidémie, une nouvelle bataille politique. Objectif : obtenir la création d’un « Passeport immunitaire » indispensable selon l’opposant cambodgien en exil pour démarrer le déconfinement des populations dans de bonnes conditions. Voici son raisonnement et ses propositions. A débattre bien sûr !
Révélé par le Wall Street Journal, ce rapport d’une étude préliminaire montre pour l’instant que le nombre de personnes ayant développé des anticorps est très faible.
