[Asie du Sud-Est] COVID-19 : situation épidémique dans certains pays d’Asie du Sud-Est
La situation épidémique dans des pays en Asie du Sud-Est continue de s’aggraver avec le nombre de nouveaux cas en augmentation continuelle chaque jour.
La situation épidémique dans des pays en Asie du Sud-Est continue de s’aggraver avec le nombre de nouveaux cas en augmentation continuelle chaque jour.
Fin 2019, un nouveau coronavirus issu d’un réservoir animal, probablement une chauve-souris, émerge dans la ville de Wuhan en Chine. Le 11 mars 2020, l’Organisation mondiale de la Santé déclare la maladie Covid-19, causée par le virus SRAS-CoV-2, comme une pandémie. En Asie du Sud-Est, la faible létalité recensée surprend et interroge, alors que la proximité géographique avec la Chine, l’intensité des liens et des moyens de transport et la porosité des frontières terrestres entre les deux espaces, laissaient craindre un désastre. De toute évidence, une approche interdisciplinaire s’impose pour appréhender cette pandémie qui laisse entrevoir des consonances particulières en Asie du Sud-Est. C’est avec le regard croisé de l’épidémiologiste, du géographe, de l’anthropologue et de l’économiste que sont abordés quelques angles saillants de l’impact de la pandémie pour les sociétés sud-est asiatiques, comme l’origine du virus, le faible taux de létalité, le pouvoir transformateur de la crise sanitaire, y compris dans les pratiques religieuses, en mettant en évidence des logiques d’ordre « biopolitique » qui dépassent notre cadre régional.
Le 25 décembre, l’Indonésie a enregistré 258 décès supplémentaires causés par le COVID-19, la plus forte augmentation quotidienne jamais enregistrée, portant le nombre total de survivants à 20.847 cas.
La Thaïlande déclare pouvoir échapper à une deuxième vague d’infections de COVID-19, tandis que les Philippines et l’Indonésie continuent d’enregistrer de nouveaux cas de contamination.
Les dernières nouvelles de la pandémie de coronavirus dans les dix pays membres de l’ASEAN sont à retrouver dans notre article. Au 16 août, il y a avait au moins 21 600 000 cas confirmés de covid-19 et environ 775 000 décès dans le monde. Pour le décompte actualisé en Asie du sud-est et en Thaïlande, lire l’article.
With the exception of Thailand, the five countries of mainland Southeast Asia are some of the poorest in the Asia-Pacific region. According to the World Bank, Cambodia has a per capita GDP of around $1,600, while Myanmar’s is roughly $1,400. Laos and Vietnam fare only marginally better, each at around $2,500. Their political systems run the gamut from semi-democracies to authoritarian one-party states. Yet despite some initial missteps, they have all largely suppressed COVID-19, proving far more effective in addressing the pandemic than most developed countries, including the United States.
This policy brief examines how the eleven countries of South-East Asia are coping
with the immediate impacts of COVID-19, focusing on the subregion’s socio-economic
response and providing four sets of recommendations for a recovery that leads to a more
sustainable, resilient and inclusive future.
Auteur : Dominic Maegher. Production : The Interpreter is published by the Lowy Institute, an independent, nonpartisan think tank based in Sydney. It publishes daily commentary and analysis on international events, and is edited by Daniel Flitton (Managing...
Auteur : James Borton. He has been reporting on Southeast Asia for more than two decades. He is a non-resident fellow at the Center of Sea and Islands Studies at Vietnam National University and...
La contribution ci-dessous, sous la plume de talents montants de nos équipes, prend acte et “choisit” délibérément d’entériner l’émergence concrète du concept d’Indo-Pacifique. Mainte fois évoqué, souvent contesté, il est parfois même traversé de contradictions créées par les acteurs de cette région. Ce “chiffon rouge” brandi sous les yeux de Pékin a sans doute d’autant plus lieu d’être que la situation actuelle est chargée, à la suite des bouleversements liés à la pandémie, de signaux, forts ou faibles (voir le commentaire annexé du sommet de l’ASEAN) d’une montée des tensions dont la Chine ne peut qu’être reconnue comme l’initiatrice principale. La question que posent ces cristallisations, sinon ces crispations, est celle de l’évaluation de cette montée.
COVID-19 has called into question the practice of regionalism in Southeast Asia. The seemingly slow and reactive responses by ASEAN member states when the virus first hit Thailand on 13 January have led many to wonder if this regional multilateral organisation is up to the task of dealing with the pandemic. How should we assess ASEAN’s response to the global health crisis?
Le Vietnam et le Japon ont coprésidé le 9 juillet la 13e Conférence ministérielle Mékong-Japon, axée sur la promotion de la coopération entre les pays du Mékong et le Japon dans la lutte anticoronavirus.
Daily global carbon emissions dropped by 17 per cent in the first quarter of 2020 compared with 2019 levels. While this is positive in mitigating climate change, the drop is due to the COVID-19 and measures to stop it spread such as nationwide lockdowns and travel restrictions. The COVID-19 induced economic downturn is contracting global energy demand and energy-related emissions. But this crisis is temporary — both energy demand and carbon emissions will bounce back once the global economy starts to recover.
La réunion spéciale en ligne des ministres de l’ASEAN chargée du bien-être social et du développement pour atténuer l’impact de l’épidémie de COVID-19 sur les groupes vulnérables a eu lieu le 10 juin.
Le Vietnam pourrait être le seul pays de la zone à connaître la croissance en 2020.